Une médecine alternative de pointe
UNE PIONNIÈRE...
Au milieu des années 80, Noëlla Potvin, ayant terminé ses études en Gérontologie, pratique la massothérapie et la réflexologie et travaille dans une maison pour personnes âgées.
Suite à un problème de santé important, Noëlla se voit dans l'obligation d'abandonner son travail.
Très souffrante, on lui prescrit une médication dont les bienfaits ne sont pas durables.
Alliant son expérience en massothérapie et réflexologie, elle combine ses connaissances en utilisant un vibromasseur afin de tenter de se soulager elle-même de ses douleurs.
À sa stupéfaction, elle s'aperçoit que le vibromasseur lui permet de détecter des congestions musculaires profondes. Par le mouvement de ses deux doigts, elle tente de repérer ces petites congestions dans le but de les faire disparaître... du moins, les réduire...
Après seulement un mois et demi, elle retrouve la forme. Les douleurs sont moins fréquentes et l’intensité a diminué. Le besoin de prendre sa médication ne se fait plus sentir. Quelques semaines plus tard, elle retrouve une nette amélioration de sa santé globale. Noëlla reprend son travail.
Elle ne le réalisait pas encore, mais une nouvelle technique de soin venait de naître.

Noëlla Potvin. Fondatrice de la technique d'anatothérapie.
Noëlla Potvin.
Fondatrice de la technique d'anatothérapie.

NAISSANCE D'UNE NOUVELLE APPROCHE
Sans être pleinement consciente de sa découverte, elle demande à ses proches d'expérimenter sa technique. Les résultats sont surprenants et évidents.
C'est après plus de dix ans de recherche et de perfectionnement que Noëlla peut maintenant dire qu'elle possède une réelle technique combinant l'utilisation des deux doigts d'une seule main et d'un vibromasseur.
L'anatothérapie devient une nouvelle approche en médecine alternative.
En l'expérimentant, il devient évident que c'est une technique révolutionnaire, préventive et curative.
Une nouvelle technique qui n'a pas encore de nom...
L'ANATOMIE...
L'ANATOTHÉRAPIE
C’est en regardant une planche du squelette humain et de son système musculaire qu’elle a été inspirée. Il y était écrit «anatomie» au bas de l’affiche pourtant elle lisait «anatothérapie». Après quelques instants, se rendant compte de sa méprise, elle comprend qu’elle vient de trouver le nom à donner à sa technique.
Au début de l’année 1996, elle obtient ses droits d’auteur pour l’anatothérapie. Sa clientèle est devenue beaucoup trop importante pour réussir seule à la servir. À nouveau, la vie la bouscule et elle est devant un constat : elle doit enseigner sa technique à d'autres personnes pour répondre aux besoins de sa clientèle grandissante. Voilà les débuts de son école de formation.
Le 31 décembre 1996, le Centre d’anatothérapie professionnelle était officiellement ouvert.

